Au Maroc, la Société financière internationale (IFC) anticipe sur la manne financière destinée au climat. La filiale du groupe Banque mondiale estime à près de 68 milliards de dollars le potentiel des investissements climato-compatibles sur les 15 prochaines années. Les énergies vertes absorberont évidemment une bonne partie de ces capitaux: plus de 12 milliards de dollars. Le reste est réparti entre le transport urbain, la gestion des déchets, le green building… Pendant ce temps, la Banque mondiale débloquera 1,5 milliard de dollars par an à la région Mena. Lire la suite