Les chantiers se multiplient dans la capitale économique, mais sans vision ni coordination entre les différentes structures de la ville. Du coup, les principaux accès, voire le centre-ville, sont impraticables. Casa Port, Av. des FAR, La Résistance, Sidi Maârouf, Gandhi, Aïn Sebaâ, Zenata... sont devenus des points noirs en ce mois de février. De surcroît, la signalétique fait défaut au grand dam des automobilistes. Les chantiers des prochaines lignes de tram (3 et 4) risquent de rendre encore plus cafouilleux les déplacements et la mobilité. Lire la suite