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Omerta
Omerta Par Ahlam NAZIH
Le 01/11/2024

Le laisser-aller et les réglementations déconnectées des réalités du terrain sont souvent la porte ouverte aux détournements et aux abus, quel que soit le secteur d’activité. L... + Lire la suite...

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Edition N° 4906 | Le 28/11/2016
Khalid Cheddadi, président directeur de la CIMR: «La capitalisation concerne une partie seulement au niveau de la sortie, mais la logique globale est celle de la répartition» (Ph. Bziouat) Dès le 1er janvier 2017, la CIMR deviendra une mutuelle soumise au contrôle de l’Acaps. Un changement de statut qui s’accompagne d’une mise en conformité avec la loi dont la cotisation salariale qui ne...
Edition N° 4904 | Le 24/11/2016
Othman Benjelloun, président du groupe BMCE Bank of  Africa, a signé une convention de partenariat avec le groupe malgache Sipromad (Ph. Jarfi) Joli coup pour BMCE Bank of Africa. Le groupe vient de sceller un nouveau partenariat en Afrique avec la Société industrielle des produits de Madagascar (Sipromad). Une convention a été signée lundi  21 novembre à Antanarivo à Madagascar entre ...
Edition N° 4903 | Le 23/11/2016
En 2008 et 2009, la compensation des prix produits pétroliers a atténué les chocs externes. Dès 2014, l’effet de la nouvelle grille tarifaire de l’eau et de l’électricité s’est fait sentir En attendant le projet de Bank Al-Maghrib visant le ciblage de l’inflation dès 2017 pour préparer le terrain à la flexibilité partielle du régime de change, l’indice des prix à la consommation reste...
Edition N° 4902 | Le 22/11/2016
Selon les études effectuées par la CIMR, la comparaison des coefficients d’anticipation en vigueur et les nouveaux démontre leur sous-estimation actuelle de 27% en moyenne Voilà une mesure qui aura un impact sur la réserve de prévoyance de la Caisse interprofessionnelle marocaine de retraite (CIMR). Le remboursement des cotisations salariales pour les personnes qui quittent définitivement...
Edition N° 4901 | Le 21/11/2016
Asma Charki,Tax Advisor Services à Mazars: «L’administration est tenue de prouver l’existence du motif exclusivement fiscal puisque la charge de la preuve lui incombe. C’est ce qui rend la notion d'abus de droit très discutable à juste titre» (Ph. L'Economiste) Tel qu'il est prévu dans le projet de loi de finances, l'abus de droit suscite de vives réactions auprès des entreprises et leurs...
Edition N° 4900 | Le 17/11/2016
«La notion d’abus de droit telle qu’elle est prévue par le projet de loi de finances est dangereuse pour le monde des affaires». A la CGEM, cette nouvelle arme du fisc pour contrer le détournement de l’esprit de la loi fiscale a créé la surprise surtout qu’elle n’a fait l’objet d’aucune consultation préalable. «Le contribuable pourrait se retrouver dans une situation ambiguë. D’un côté, le droit...
Edition N° 4897 | Le 14/11/2016
Ayache Khellaf, directeur de la Prévision et de la prospective au haut commissariat au plan: «L’important recours à l’endettement extérieur ainsi que la dynamique des IDE, durant ces dernières années, ont pu combler la décélération de la croissance des deux premières sources de devises, soit les transferts des MRE et les recettes touristiques» Le stock de réserves, estimé à 7 mois et 6 jours...
Edition N° 4897 | Le 14/11/2016
Jean-Pierre Chauffour, économiste principal pour la région Mena à la Banque mondiale: «Dans un schéma de régime de change fixe, les réserves en devises fluctuent en fonction de l’équilibre épargne-investissement»  (Ph. L’Economiste) Avec plus de 251 milliards de dirhams de réserves de changes, le Maroc dispose d’un matelas assez confortable. Le choc pétrolier de 2014-2015 s’est apparenté à...
Edition N° 4897 | Le 14/11/2016
En 2008, année marquée par la crise internationale, les réserves de changes étaient à 6,1 mois d’importations. Elles ont remonté en 2009 avant de s’inscrire sur une tendance baissière. En 2012, elles ont atteint 4,1 mois d’importation alors que le seuil critique est fixé entre 3 et 4 mois. A partir de 2014, les réserves de changes se sont renforcées:  5 mois et 9 jours avant de passer à 6 mois...
Edition N° 4895 | Le 10/11/2016
A elle seule, la pollution de l'eau coûte 11,7 milliards de dirhams, représentant 1,26% du PIB. Elle est suivie par la pollution de l'air et des sols avec respectivement 1,05% et 0,54% du PIB La dégradation de l'environnement a un coût astronomique: 3,52% du PIB à 33 milliards de dirhams. Les dégâts causés par les émissions de gaz à effet de serre à l’environnement global sont estimés à 1,62...