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Grippé
Grippé Par Ahlam NAZIH
Le 18/10/2024

Les Marocains sont friands de diplômes. Et vu leur faible niveau de productivité, selon l’appréciation des institutions internationales, cela ne pourrait leur être que... + Lire la suite...

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Edition N° 4900 | Le 17/11/2016
«La notion d’abus de droit telle qu’elle est prévue par le projet de loi de finances est dangereuse pour le monde des affaires». A la CGEM, cette nouvelle arme du fisc pour contrer le détournement de l’esprit de la loi fiscale a créé la surprise surtout qu’elle n’a fait l’objet d’aucune consultation préalable. «Le contribuable pourrait se retrouver dans une situation ambiguë. D’un côté, le droit...
Edition N° 4897 | Le 14/11/2016
Ayache Khellaf, directeur de la Prévision et de la prospective au haut commissariat au plan: «L’important recours à l’endettement extérieur ainsi que la dynamique des IDE, durant ces dernières années, ont pu combler la décélération de la croissance des deux premières sources de devises, soit les transferts des MRE et les recettes touristiques» Le stock de réserves, estimé à 7 mois et 6 jours...
Edition N° 4897 | Le 14/11/2016
Jean-Pierre Chauffour, économiste principal pour la région Mena à la Banque mondiale: «Dans un schéma de régime de change fixe, les réserves en devises fluctuent en fonction de l’équilibre épargne-investissement»  (Ph. L’Economiste) Avec plus de 251 milliards de dirhams de réserves de changes, le Maroc dispose d’un matelas assez confortable. Le choc pétrolier de 2014-2015 s’est apparenté à...
Edition N° 4897 | Le 14/11/2016
En 2008, année marquée par la crise internationale, les réserves de changes étaient à 6,1 mois d’importations. Elles ont remonté en 2009 avant de s’inscrire sur une tendance baissière. En 2012, elles ont atteint 4,1 mois d’importation alors que le seuil critique est fixé entre 3 et 4 mois. A partir de 2014, les réserves de changes se sont renforcées:  5 mois et 9 jours avant de passer à 6 mois...
Edition N° 4895 | Le 10/11/2016
A elle seule, la pollution de l'eau coûte 11,7 milliards de dirhams, représentant 1,26% du PIB. Elle est suivie par la pollution de l'air et des sols avec respectivement 1,05% et 0,54% du PIB La dégradation de l'environnement a un coût astronomique: 3,52% du PIB à 33 milliards de dirhams. Les dégâts causés par les émissions de gaz à effet de serre à l’environnement global sont estimés à 1,62...
Edition N° 4894 | Le 09/11/2016
Le niveau des pensions de retraite servies par la CNSS reste faible: Un tiers des retraités ont juste touché la pension minimale (1.000 dirhams) en 2015. Et plus de la moitié ont perçu moins de 1.500 dirhams Une réforme paramétrique du régime de retraite des salariés est envisagée. La CNSS s’apprête à lancer une étude sur les scénarios à mettre en place pour ce régime qui a subi 14 réformes...
Edition N° 4893 | Le 08/11/2016
Depuis 1999, le taux d’activité a baissé, passant de 54,5% à 47,4% en 2015. En parallèle, le taux de chômage est également en recul. Il est passé  de 13,8% en 1999 à 9,7% en 2015 La baisse du taux de chômage au troisième trimestre à 9,6% ne reflète pas une amélioration de l’emploi. Les destructions ont été plus importantes que les créations de postes de travail: 125.000 pour les premières...
Edition N° 4892 | Le 07/11/2016
L’opération de ramassage des sacs en plastiques devait durer cinq mois. Elle a, en principe, pris fin le 31 octobre. Durant le mois de novembre, au cours duquel  la COP22 est organisée, un plan de vigilance est également prévu.   Mise sous scellé des machines et des stocks... La répression s’intensifie contre le plastique. L’Etat injecte 200 millions de DH pour la reconversion des...
Edition N° 4891 | Le 04/11/2016
Parmi les personnes sans diplôme, le taux de chômage s’est établi à 3,8% et à 14,7% parmi celles qui disposent d’un diplôme de niveau moyen. Le taux est de 27,3% au niveau des lauréats des facultés Source: HCP Alerte sur l'emploi! Au troisième trimestre, l'économie a perdu 125.000 postes. A l'exception des BTP où 52.000 emplois ont été créés, tous les secteurs sont au rouge. Même si les...
Edition N° 4890 | Le 03/11/2016
Le remplacement des ampoules à incandescence par des lampes basse consommation (LBC) permettrait au Maroc d’économiser 1.070 GWh de consommation d’électricité par an. Cela représente  deux fois la consommation annuelle d’électricité de la ville d’Agadir et une économie en fioul estimée à 400.000 tonnes par an. Un véritable challenge pour l’office national de l’eau et l’électricité (ONEE) qui a...