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Calvaire
Calvaire Par Ahlam NAZIH
Le 15/05/2024

La situation des personnes à besoins spécifiques au Maroc est tellement difficile que chaque geste à leur endroit compte..., même l’annonce d’une carte spéciale handicap,... + Lire la suite...

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Edition N° 6765 | Le 15/05/2024
Le projet de loi régissant l’enseignement supérieur, modifiant la 01-00 datant de 2000, devrait être très prochainement soumis au Conseil supérieur de l’éducation, de la Formation et de la Recherche Scientifique (CSEFRS) pour avis. Le texte est en cours de finalisation avant de le mettre dans le circuit législatif. A.Na
Edition N° 6765 | Le 15/05/2024
L’opération de mise à niveau des infrastructures de la faculté de droit Aïn Chock de Casablanca se poursuit. L’établissement est en train de reconstruire près de 6 de ses amphis, ce qui représente 40 à 50% de sa capacité d’accueil. Le projet devrait également permettre à la faculté de se débarrasser une fois pour toute de ses salles en préfabriqué, d’ici trois à quatre ans. A.Na 
Edition N° 6765 | Le 15/05/2024
La situation des personnes à besoins spécifiques au Maroc est tellement difficile que chaque geste à leur endroit compte..., même l’annonce d’une carte spéciale handicap, sans calendrier ni détails sur les avantages qui seront offerts. Le projet, qualifié «d’étape historique» par la ministre de la Solidarité, pourrait bien représenter une avancée majeure pour cette catégorie longtemps...
Edition N° 6762 | Le 10/05/2024
Après la réforme des facultés à accès ouvert en 2022-2023, place aux écoles et facultés à accès sélectif. Au même titre que les écoles d’ingénieurs (voir L’Economiste N° 6757 du 3 mai 2024), les ENCG revoient leur offre de formation pour la rentrée de septembre. Avec un nombre important de bacheliers dans leurs régions respectives, les ENCG de Casablanca et de Kénitra sont celles qui...
Edition N° 6762 | Le 10/05/2024
Cela fait des mois que les universités publiques mobilisent leurs matières grises pour concocter une nouvelle offre de formation. Pour cette rentrée de septembre, ce sera au tour des écoles d’ingénieurs et de commerce publiques de venir avec des contenus revisités et des options élargies pour les étudiants. Les opérateurs privés ne sont pas vraiment associés à ce chantier. Car depuis...
Edition N° 6762 | Le 10/05/2024
Il y a presque trois ans, la faculté d’économie Aïn Chock de Casablanca lançait une licence en gestion 100% anglophone, la première du genre à l’échelle des facultés publiques. Un pari osé, vu le manque de ressources anglophones. A la fin de cette année universitaire, l’établissement livre la toute première promotion de ce programme. «Nous avons été agréablement surpris, car nous avons découvert...
Edition N° 6762 | Le 10/05/2024
L’ENCG Settat est également très active en matière de formation continue. Ce créneau lui permet de générer des recettes de près de 35 millions de DH par an. Sur cette activité, elle est au coude à coude avec l’ENCG de Casablanca (Ph. ENCG Settat)     Parmi le réseau des 12 ENCG, celle de Settat est la seule à figurer dans le top 5 du classement Eduniversal des meilleures business schools...
Edition N° 6759 | Le 07/05/2024
«Le Maroc qui innove», c’est le thème de la Rencontre nationale des directeurs et responsables de la R&D, organisée par l’association R&D Maroc. L’évènement se tient ce mardi 7 mai à Casablanca. L’objectif est de rassembler les acteurs de la recherche et de l’innovation, du privé et du public, autour des avancées, défis, meilleures pratiques et dispositifs d’accompagnement dans le domaine...
Edition N° 6759 | Le 07/05/2024
En 2011, au plus fort du printemps arabe, des observateurs relevaient les taux de chômage élevés des 15-24 ans dans les pays de la région Mena. L’on tombait des nues en découvrant des pourcentages frôlant les 30%, comme en Egypte, voire supérieurs à 40%, comme en Tunisie. Au Maroc, nous en étions à 17,9%. En une douzaine d’années la situation n’a cessé de s’aggraver, et nous en sommes là,...
Edition N° 6757 | Le 03/05/2024
L’idée de se passer des concours d’accès aux établissements post-bac mûrit depuis de nom­breuses années. L’ancien ministre, Lahcen Daoudi, en parlait en 2015 déjà. Son successeur, Saaïd Amzazi (2018-2021), y était également fa­vorable, au même titre que l’actuel ministre, Abdellatif Miraoui. En se débarrassant des concours, qui, soit dit en passant, sont également coû­teux et énergivores pour les...