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Omerta
Omerta Par Ahlam NAZIH
Le 01/11/2024

Le laisser-aller et les réglementations déconnectées des réalités du terrain sont souvent la porte ouverte aux détournements et aux abus, quel que soit le secteur d’activité. L... + Lire la suite...

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Edition N° 5118 | Le 03/10/2017
En ces temps de crise de compétences dans de nombreux secteurs, la fonction RH n’a jamais été autant sollicitée. Engager le bon DRH revêt aujourd’hui un enjeu stratégique. Toulouse Business School (TBS) se positionne sur ce domaine, en lançant un master RH. Pour son nouveau programme, l’école s’est associée à l’un des labels les plus notoires de la place, le cabinet Diorh. Elle a également fait...
Edition N° 5118 | Le 03/10/2017
Youssef Chraïbi, président de la Fédération marocaine de l’outsourcing - L’Economiste: Rareté des compétences et inflation salariale, c’est une double sanction. Comment arrivez-vous à vous en sortir? - Youssef Chraïbi: Quand nous répondons à un appel d’offres, nous devons dégager une marge suffisante pour maintenir l’opération. Nous proposons donc un prix en fonction d’une destination. Il...
Edition N° 5118 | Le 03/10/2017
Ces trois dernières années, la rémunération des dirigeants a augmenté en moyenne de 5,1% par an, contre 4,4% pour les managers. Ces évolutions sont bien au-dessus de celles de l’inflation (2%) et de la croissance non agricole (2,5%) Le poids de la pénurie de compétences devient de plus en plus lourd à porter par les entreprises. Les salaires des dirigeants et managers s’envolent d’année en...
Edition N° 5118 | Le 03/10/2017
Hicham Zouanat, président de la commission emploi de la CGEM: «Nous ne révolutionnerons pas le marché de l’emploi sans réviser de fond en comble la législation et les charges supportées par les entreprises» (Ph. L’Economiste) - L’Economiste: Cette inflation salariale menace-t-elle l’attractivité de l’offre Maroc? -  Hicham Zouanat: La compétitivité du Maroc ne se limite pas aux salaires....
Edition N° 5118 | Le 03/10/2017
Le Maroc produit suffisamment de cadres et d’opérationnels, mais très peu de middle managers. Les entreprises souffrent de plus en plus de la rareté de ces profils sur le marché. «Nous comptons une élite formée dans les plus grandes écoles, capable de penser un Maroc nouveau, mais pas de relais!», regrette le fondateur du cabinet Diorh, Essaïd Bellal. Il intervenait mercredi dernier au campus de...
Edition N° 5113 | Le 26/09/2017
Chaque année, les équipes d’Enactus emmènent des étudiants de plusieurs écoles supérieures à la prospection d’opportunités d’affaires. L’idée est de visiter des régions reculées, détecter les besoins des populations et en sortir avec des projets de startups sociales. Et ça marche! L’ONG mondiale, établie au Maroc depuis 2003, a pu accompagner des milliers d’étudiants qui ont développé des...
Edition N° 5113 | Le 26/09/2017
Sans guide de l’enseignant, ni formation, chaque enseignant tente d’utiliser à sa manière les nouveaux manuels de français (CP, 5e et 6e année du primaire et les 3 années du collège). Les profs contractuels, recrutés sans formation préalable, sont encore plus perdus (Ph. Jarfi) Oui, la majorité des écoles publiques ont bel et bien repeint leurs façades et acheté de nouvelles tables. Même si...
Edition N° 5113 | Le 26/09/2017
Depuis 2003, le nombre de profs a fluctué entre 218.000 et un peu plus de 230.000, alors que celui des élèves continue de progresser d’année en année. Le pic a été atteint cette année, avec 236.511 enseignants pour plus de 7,07 millions d’élèves. La rentrée 2016-2017 a été la pire selon les acteurs du système, puisque le nombre d’enseignants avait chuté à 210.367 en raison des départs à la...
Edition N° 5109 | Le 19/09/2017
La plus ancienne et la plus grande école d’ingénieurs au Maroc (près de 500 lauréats par an) ne veut plus se confiner à son environnement local. L’Ecole Mohammadia d’ingénieurs (EMI) souhaite nouer plus de partenariats avec de grandes écoles et universités à l’international. «Nous avons démarré cette expérience en 2014-2015. Cette année, nous visons à aller encore plus loin, afin de pouvoir nous...
Edition N° 5109 | Le 19/09/2017
L’évolution des effectifs des inscrits dans le privé entre 2008 et 2016 montre l’engouement pour ce secteur. Le public, lui, est de plus en plus délaissé pour les classes moyennes et supérieures. La mixité sociale y est en voie de disparition Nous sommes l’antithèse de ce que nous prétendons être. Les valeurs morales que nous brandissons sont à des années-lumière de nos comportements. Les...