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Spectateur Par Mohamed CHAOUI
Le 02/04/2025

Les tentatives du chef du gouvernement pour colmater les brèches et calmer les esprits des trois partis de la majorité n’ont visiblement pas produit leurs effets.... + Lire la suite...

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User logged in | L'Economiste
Edition N° 441 | Le 11/02/1999
Les concessions sont devenues de fait le seul vecteur de la privatisation marocaine. Techniquement, ces mises en concession prennent chaque fois un peu le chemin de la transparence qu'avait ouvert le marché de la production électrique à Jorf Lasfar. Politiquement, elles n'engendrent pas d'état d'âme, ni même de restrictions mentales. Le processus est donc bien installé et c'est souvent avec une...
Edition N° 440 | Le 10/02/1999
Le monde est agité des mégafusions, rapprochements, alliances... Les sommes en jeu sont colossales, de l'ordre du budget de l'enseignement de toute une année au Maroc pour une opération moyenne, ou encore pour une opération de grande taille, les entreprises mettent dans la balance l'équivalent de la moitié du Produit Intérieur Brut marocain. Ce sont des sommes hors de portée de notre imagination...
Edition N° 439 | Le 09/02/1999
Qu'est-ce qui ressemble à une administration bureaucratique? Un syndicat qui la conteste. Qu'est-ce qui ressemble à une entreprise familiale fermée? Encore un syndicat qui la conteste. Tous prônent la liberté, aucun ne veut la libéralisation. L'Administration ne veut pas du privé qui s'émancipe, le patronat "traditionnel" ne veut pas de l'ouverture à l'Europe. Les syndicats refusent le tout, et s...
Edition N° 438 | Le 08/02/1999
La disparition du Roi Hussein de Jordanie de la scène politique ne manquera pas d'avoir des implications sur la question du Moyen-Orient. En effet, la Jordanie a constamment été l'une des parties prenantes majeures de cette question. Par sa position géographique d'abord, humaine ensuite (la Jordanie est peuplée pour plus de la moitié de Palestiniens), ce pays était et demeurera une pièce...
Edition N° 437 | Le 05/02/1999
Il y a un an juste, M. Youssoufi commençait à former son gouvernement. La période de grâce n'a pas été une période de fortes activités réformatrices en économie. C'est une réalité. En fait, il a fallu attendre, dans les tout derniers jours de 1998, quand est revenu le temps des accrochages entre les acteurs économiques et le pouvoir politique, pour que tout le processus de réformes redémarre. En...
Edition N° 436 | Le 04/02/1999
M. Abdallah Saâf, ministre chargé de l'Enseignement Secondaire et Technique, a annoncé l'intention de son Ministère d'allouer des budgets annuels aux académies. Ces dernières doivent donc elles-mêmes définir au préalable leurs besoins. Ce qui est différent d'une définition faite par l'Administration centrale. Les problèmes de l'enseignement sont multiples. Ils sont pédagogiques, relatifs aux...
Edition N° 435 | Le 03/02/1999
Qui a peur du bug 2000? Presque personne, si l'on en juge par le faible taux de réponse, 200 sur 1.800, au comité ad hoc, constitué par le Secrétariat d'Etat chargé de la Poste et des Télécommunications. Et pourtant la dernière évaluation d'un organisme international spécialisé classe le Maroc "pays à risque". Soit les entreprises et les administrations veulent agir seules, soit leurs dirigeants...
Edition N° 434 | Le 02/02/1999
A Davos, des hom-mes politiques et des chefs d'entreprise parlent de la planète, font connaissance et lancent des arrangements, qui demain feront un nouvel investissement ou un nouvel accord de coopération. Certaines de ces initiatives seront excellentes, d'autres navrantes. Mais que retient-on globalement de la globalisation? Globalement, on retient qu'il faut être contre et ce, sans la moindre...
Edition N° 433 | Le 01/02/1999
Lors d'un colloque organisé par l'Alliance des ingénieurs istiqlaliens, M. Abbas El Fassi, secrétaire général de l'Istiqlal, a soutenu «qu'il n'est pas de solution plus appropriée à la gestion des services publics, notamment sociaux, que la concession au secteur privé». Une telle déclaration du leader du Parti de l'Istiqlal montre que de grands changements sont en train de s'opérer en profondeur...
Edition N° 432 | Le 29/01/1999
"VA, je ne te hais point", dit Chimène à Rodrigue pour ne pas dire "je t'aime encore". C'est dans le Cid, la pièce classique de Corneille. C'est beau et le gouvernement et le patronat jouent comme ces amoureux, plein de fierté. Le ton monte, ces derniers jours, dans les salons, chez Alternatives et le Cerab. Auparavant, le patronat rompait avec l'état de grâce; il réclamait un calendrier des...