Le «One Planet Summit», achevé hier à Paris, est peut-être la rencontre de la dernière chance pour rattraper le retard pris dans la mise en oeuvre des engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre. L’objectif de rester en dessous de 2 degrés peut être compromis. L’inconnue est la question de financement de la transition climatique. Il va falloir trouver 100 milliards de dollars par an. Pour l’instant, les promesses sont loin du compte. La Banque mondiale a fait sensation à Paris en mettant l’exploitation pétrolière sur la liste noire. Lire la suite