Tariq Sijilmassi: «Le plus dur reste à venir»
- L’Economiste: Les banques ont été en première ligne pour éviter la faillite des milliers d'entreprises. Pensez-vous que le plus dur est passé? - Tariq Sijilmassi: J’espère que c’est le cas sur le plan sanitaire mais, malheureusement, sur le plan bancaire, le plus dur reste à venir. Les banques se sont fortement mobilisées pour appuyer les entreprises et les accompagner durant cette période délicate.