En juin dernier, le Maroc n’a pas importé de blé tendre, une matière première vitale transformée en farine. Les importations effectuées les mois qui ont suivi n’ont pas suffi. Ainsi, le stock de sécurité du pays en blé tendre est actuellement menacé. Il se situe à un peu plus de trois mois contre six mois requis. Alors pour restaurer cet équilibre, l’Onicl vient de publier une circulaire instituant un soutien à la constitution d’un stock de blé tendre par les importateurs. Lire la suite