Chaque année, de nombreux organismes s’adonnent à l’exercice de production de prévisions de croissance. HCP, Bank Al-Maghrib, institutions de Bretton Woods, ministère des Finances, agences de notation… livrent leurs chiffres pour l’année N et N+1, sur la base de diverses hypothèses. Mais qui a le plus souvent raison? L’Economiste a scruté les prévisions de six institutions, nationales et internationales, pour le Maroc, sur les dix dernières années. Et le prix des prévisions les plus précises va à… Lire la suite