Hassad, l’exception
Les réseaux sociaux sont tout bruissants de commentaires sur les sanctions royales ayant frappé des ministres et hauts responsables. L’immense majorité applaudit, une partie demande une suite, mais Mohamed Hassad est placé à part. Les fautes ne sont qu’exceptionnellement niées, mais la très grande majorité des commentateurs estime que ce ministre a prouvé plusieurs fois qu’il savait mener des réformes. Les internautes se demandent qui pourrait le remplacer dans ce genre de mission, surtout à l’Education nationale.
J.R.