Flexibilité du dirham: «Le Maroc peut mener sa réforme en douceur»
Avec un déficit budgétaire ramené à 4,1% en 2016 (contre 7,3% en 2012), une dette stabilisée à près de 65% du PIB, jugée soutenable, et une monnaie proche de son niveau d’équilibre, le Maroc est clairement en «situation de force», selon le FMI. Ses équilibres macroéconomiques devraient s’améliorer encore plus dans les prochaines années. Pour l’institution, le pays peut entamer la flexibilité du dirham «en douceur». Il s’agit d’une réforme de moyen terme qui servirait à doper sa compétitivité future.