En Iran, la mode du tatouage sort de l'ombre
Dans un appartement du nord de Téhéran, à l'abri des regards trop curieux, Sean exhibe avec fierté les tatouages réalisés méticuleusement par ses élèves. Cela fait huit mois que l'Iranien de 34 ans a ouvert son studio pour pratiquer et enseigner l'art d'«encrer la peau», qui prospère dans une certaine clandestinité depuis plus d'une décennie.