C’est une première dans les annales parlementaires. Sans attendre les instructions, les bureaux des deux Chambres ont décidé d’interdire l’accès au Parlement aux députés et aux conseillers poursuivis devant la justice. Au niveau de la Chambre des représentants, on compte une quinzaine de députés faisant l’objet d’accusations de mauvaise gestion, de dilapidation des deniers publics, de marchés fantômes devant les tribunaux. Lire la suite