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Musiques sacrées de Fès : La princesse Lalla Salma, Cheikha Moza et le gotha national à l’ouverture

Par L'Economiste| Le 07/05/2016 - 09:51 | Partager
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Comme nous l'avions annoncé (Lire le flash du 02/05/2016), c'est SAR la Princesse Lalla Salma, accompagnée de Cheikha Mozah, épouse du Cheikh Hamad Ben Khalifa Al-Thani, ancien Émir du Qatar, qui a présidé, vendredi 6 mai, l'ouverture de la 22e édition du festival de Fès des musiques sacrées du monde. Aux côtés de ces deux femmes d’exception illuminant ce spectacle inaugural qui a célébré les "Femmes fondatrices", l'on pouvait remarquer la présence d'autres personnalités de marque telles Salwa Idrissi Akhannouch, Leila Meziane Benjelloun, Rita Zniber, Nawal El Moutawakel, outre les Al Khalifa et les Assobah....

Du côté des hommes, cette soirée d'ouverture, sponsorisée par BMCE Bank, s'est déroulée en présence notamment d'Othman Benjelloun,fondateur de BMCE, Abderrafie Zouitene, DG de l'ONMT et président de la fondation Esprit de Fès, organisatrice de l'événement, Jean-Vincent Placé, Secrétaire d'Etat français chargé de la réforme de l'Etat et de la Simplification, Olivier Cadic, sénateur français, Jean-François Girault, ambassadeur de France au Maroc, Mohamed Hassad, ministre de l'Intérieur, Mohamed Amine Sbihi, ministre de la Culture, Driss El Azami El Idrissi, ministre du Budget et également maire de Fès, Mohand Laenser, président du conseil régional, Badr El Kanouni, patron du groupe Al Omrane, ou encore Fathallah Oualalou, Mustapha El mansouri,et Lahbib El Malki.

Devant ces festivaliers de marque, se sont produits une centaine d’artistes venant des quatre coins du monde. Réunies pour un spectacle-création, intitulé «un ciel plein d’étoiles», elles sont chanteuses, danseuses, conteuses, etc. Elles ont revisité, sous quelques averses orageuses, l’histoire de femmes savantes, femmes poétesses, femmes mystiques ou « femmes-fées», et scintillé comme autant d’étoiles d’une voie lactée qui s'est révélé au fil d’un spectacle conçu comme un songe. Fondatrices de l’Orient, de l’Islam mais aussi d’autres cultures millénaires ont entraîné le public ainsi à la découverte de l’histoire du Maroc et de divers mythes ayant écumé l’Orient. Mapping, projections audiovisuelles et grand orchestre ont accompagné cette traversée dans le temps et l’imaginaire pendant près de 2 heures.

Y.S.A.