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Casting
Casting Par Mohamed CHAOUI
Le 17/05/2024

La classe politique a les yeux rivés sur Aziz Akhannouch, en déplacement à Manama, au Bahreïn pour représenter SM le Roi au sommet de la Ligue arabe. Elle s’impatiente au... + Lire la suite...

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Radia LAHLOU

Edition N° 6352 | Le 21/09/2022
On ne badine plus avec l’occupation du domaine public. Les autorités ont décidé de traquer les contrevenants, et appliquent désormais les règles stricto sensu, avec des majorations à faire sortir de leurs gonds les plus pacifistes des restaurateurs, à Rabat. Les locataires, cafetiers et autres, crient, de leur côté, au scandale. Ils dénoncent la forte hausse des nouvelles redevances qui...
Edition N° 6336 | Le 30/08/2022
Continence. C’est le calvaire auquel ont été confrontés des centaines de milliers d’estivants sur les côtes marocaines cet été, dont la plupart ne disposent d’aucune infra-structure dédiée pour les besoins naturels. Ceux qui ont un reste de pudeur se «lâchent» dans les zones avoisinantes, le cas échéant directement dans la mer. La pire pollution de nos plages. Non, il ne s’agit pas d’un...
Edition N° 6334 | Le 26/08/2022
Quite frankly, when it comes to tourism, we are not about to win the game. All those “recovery” campaigns carried out at full speed to reinvigorate Morocco as a destination seem to have worked. The Moroccan Airports Authority (ONDA), which has just published its July figures, reports 3-digit percentages in seaside and classic destinations. And August promises to be just as abundant. There...
Edition N° 6332 | Le 24/08/2022
Très sincèrement, en matière de tourisme, nous ne sommes pas près de gagner la partie. Toutes ces campagnes de «récupération» menées tambour battant pour revigorer la destination Maroc ont l’air d’avoir marché. L’ONDA, qui vient de publier ses chiffres de juillet, fait état de pourcentages à 3 chiffres dans les destinations balnéaires et classiques. Et août promet d’être tout aussi...
Edition N° 6327 | Le 17/08/2022
Reviendra, reviendra pas? Reviendra pas! Cette fois-ci, la crise de ressources humaines que vit le secteur du tourisme semble irrémédiable. Toutes les compétences ont pris la fuite pendant le Covid, et se sont pour la plupart formées et reconverties dans d’autres domaines avec succès. Ou ont succombé aux sirènes de l’étranger, eux aussi en panne d’effectif. Diantre! Comment gérer l’afflux...
Edition N° 6325 | Le 15/08/2022
Madame la belle France dit à son bon ami Monsieur le Maroc, «le bonheur a besoin d’être interrompu pour être senti», ce à quoi son ami séculaire aurait pu rétorquer «l’injustice à la fin produit l’indépendance». Et les invectives peuvent s’éterniser si l’on n’y met pas de terme. Dans cette espèce de remake de série B de «Je t’aime moi non plus» qui se joue actuellement entre la France et...
Edition N° 6324 | Le 12/08/2022
One day, not as far away as we think, when we shall turn on the water taps, there will be no water available. And we will remember, if we are still alive by then, with nostalgia, the hot baths that we used to take in winter, or those swimming pools in which we used to snort when we were young. Today’s severe drought is only the precursor to the climate apocalypse that is looming in the...
Edition N° 6320 | Le 08/08/2022
Un jour, pas si lointain qu’on ne le pense, lorsqu’on ouvrira les robinets, il n’y aura pas d’eau. Et on se souviendra, si on est encore là, avec nostalgie, des bains chauds que l’on prenait en hiver, ou de ces piscines dans lesquelles on s’ébrouait dans notre jeunesse. Le grave épisode de sècheresse d’aujourd’hui n’est que l’antichambre de l’apocalypse climatique qui s’annonce dans un...
Edition N° 6319 | Le 05/08/2022
Quel est le point commun entre Elton John et l’Okto­berfest? Aucun, si ce n’est la horde de mal-pensants qui s’acharnent sur des manifestations pour peu qu’elles ne correspondent pas à leur vision étri­quée des choses. Il y a quelques années de ça, alors que le gouvernement était dominé par le PJD, une cohorte d’obscurantistes s’est déchaînée contre la tenue d’un concert de Sir Elton John...
Edition N° 6308 | Le 21/07/2022
Il a bon dos le conflit russo-ukrainien. Il continue de servir d’alibi à toutes les exagérations de prix pratiquées par les commerçants quelle que soit leur nature. Ce qui valait 100 DH hier, vaut aujourd’hui 300, ce qui valait 1.000 en vaut le double, etc. Cafés, restaurants, pâtisseries, tous types de produits, etc. etc., tout augmente de façon anarchique. Les grands discours, dont les...