Boussaid: "Ce qui se passe à Fès est criminel"
Boussaid a d’ailleurs réconforté son collègue au gouvernement en attestant "qu’il y a une appréhension de tension sociale à Fès qui fait que les investisseurs potentiels boudent la ville". Selon le ministre des Finances, ce manque d’attractivité, ajouté à la fermeture des usines et l’émergence de nouvelles villes comme Tanger (70.000 emplois), a fait que "Fès a sombré dans la pauvreté, l’extrémisme et autres phénomènes de société". "C’est criminel ce qui se passe à Fès", a exprimé Boussaid. Sic !