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«Clean»
«Clean» Par Meriem OUDGHIRI
Le 17/03/2025

Elle ferait perdre au pays l’affolante somme de 50 milliards de DH. Ce qui représente entre 3,5 et 6% du PIB. Elle, c’est la corruption. Juste pour la comparaison, la LGV,... + Lire la suite...

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User logged in | L'Economiste
Edition N° 922 | Le 22/12/2000
Un seul coureur sur la ligne d'arrivée: les spectateurs, qui voulaient une bagarre jusque sous le drapeau du commissaire de course, sont un peu déçus. Et puis, ils repensent à la course elle-même: c'était un beau marathon avec de grands champions. Ces grands champions mondiaux ne sont pas toujours bons perdants, mais, vu avec un oeil marocain, ce n'est pas grave: en participant au marathon, ils...
Edition N° 921 | Le 21/12/2000
Experts judiciaires, avocats... Avec des petites touches déterminées, le Ministère de tutelle a repris le programme de mise à niveau du monde de la justice.En réactivant et en redonnant de l'ampleur au Conseil supérieur de la Magistrature, M. Omar Azziman avait donné le ton, il y a quatre ans.Puis, le travail de redressement s'était heurté à des résistances certes très diffuses, mais plus fortes...
Edition N° 920 | Le 20/12/2000
Le Maroc traverse actuellement l'une des phases les plus délicates de son histoire: il s'agit d'accéder à la modernité et au vingt-et-unième siècle en réussissant les mutations nécessaires pour devenir une société démocratique. Qui plus est, le Maroc tente ces changements sans rupture et sans violence. C'est un exercice périlleux. Dans cette phase, l'Etat donne l'impression d'être faible, car il...
Edition N° 919 | Le 19/12/2000
Mais qu'est-ce qui trotte encore dans la tête des experts-comptables, les seuls habilités par la loi à porter ce titre?Depuis l'été, ils n'ont plus de bureau de l'Ordre, ni de président. Cette situation est totalement contraire à la loi, qui veut moderniser, non pas les comptables, mais les entreprises dont ils s'occupent et ce, sur des standards internationaux. Président et bureau ont...
Edition N° 918 | Le 18/12/2000
Al Amana, l'association marocaine qui gère les fonds de l'USAID, a signé à la mi-décembre, le 100.000ème microcrédit. Elle a 34.000 crédits en cours. Ce qui veut dire qu'au moment où vous lisez ces lignes, 34.000 familles pauvres s'efforcent, grâce à ce mini-soutien financier de sortir définitivement de la misère et qu'elles le font dans la dignité, pas dans l'humiliation de la mendicité. Les...
Edition N° 917 | Le 15/12/2000
En deux ans, 8.800 emplois ont été perdus dans le textile de la région Rabat-Salé, le coeur du Maroc politique puisque c'est le siège du gouvernement et du Parlement. Même en supposant que les industriels ont forcé les chiffres, il n'en reste pas moins que le problème est là, grave, irréparable dans ses conséquences humaines immédiates. Quand une usine ferme, c'est un problème privé. Quand les...
Edition N° 916 | Le 14/12/2000
Les travailleurs du Maroc doivent beaucoup au gouvernement de gauche... français de 1936. Le Front Populaire a marqué de son empreinte la loi française, et bien sûr le Maroc sous le Protectorat, par de grandes mesures comme les congés payés ou la retraite. Depuis, les lois sociales ont beaucoup changé avec Mai 68 et les gouvernements de gauche, mais peu au Maroc.Il n'y a plus que M. Abbas El...
Edition N° 915 | Le 13/12/2000
Par jalousie, nous pourrions nous réjouir que la Nouvelle Economie s'essouffle. Puisque nous n'y sommes pas, bien fait pour eux.En fait, ce qui est malheureux, c'est que l'économie marocaine ne soit pas touchée par la récession qui s'annonce, car elle n'a jamais fait partie de la grande expansion mondiale. Le phénomène, qui dure depuis cinq ans, a commencé aux Etats-Unis, s'est propagé en Europe...
Edition N° 914 | Le 12/12/2000
Un désordre politique s'installe. Il nous déstabilise parce que nous n'y sommes pas habitués. Ce désordre doit s'analyser à plusieurs niveaux:- le tâtonnement normal de structures étatiques cherchant à s'inscrire dans un système démocratique. En effet, nous avons un gouvernement construit sur un équilibre fragile, sujet à négociations et rapports de forces permanents. Les composantes de cette...
Edition N° 913 | Le 11/12/2000
Nous regrettons profondément et condamnons l'interdiction des hebdomadaires Assahifa, Le Journal et Demain. Il s'agit là d'un principe: l'interdiction d'un média menace l'ensemble des autres médias.En revanche, nous ne pouvons nous solidariser des comportements de MM. Boubker Jamaï, Ali Amar et Ali Lamrabet.Ces trois personnes se sont livrées à plusieurs reprises à des kidnappings de valeurs: des...