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Echec
Echec Par Ahlam NAZIH
Le 19/04/2024

Devenir médecin, c’est d’abord se vouer à l’humain, se dédier à une cause noble. Devenir médecin, c’est avant tout un don de soi, et c’est aussi rendre service à son pays.

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Directrice des rédactions – Groupe Eco-Médias

Edition N° 5190 | Le 18/01/2018
Deux coups en même temps! Les élus viennent de porter deux coups en même temps contre le droit des citoyens à l’accès à l’information. Le premier est ce procès fait à des journalistes pour avoir publié des données sur les Caisses des retraites à l’instigation du président PAMiste de la Chambre des Conseillers avec le soutien du Ministre de la Justice, RNIste. Et ce alors que le Luxembourg...
Edition N° 5189 | Le 17/01/2018
Qui aurait cru cela? Dans les rangs du PJD, chef de la coalition gouvernementale,  des voix particulièrement fortes se sont élevées pour contester… l’indépendance de la Banque centrale, même l’indépendance dont elle dispose aujourd’hui (lire l'article sur la rubrique économie)? Au-delà de la solidarité gouvernementale, on aurait pensé qu’une décennie d’expérience dans l’opposition puis un...
Edition N° 5186 | Le 10/01/2018
Quand les élus de la nation vont lire ça, ils vont se demander ce qu’ils ont voté vraiment dans la Loi de Finances. Ça, c’est le dernier examen de la Cour des comptes. Il porte sur l’exercice 2016 et en évidence le désordre régnant  sur les dépenses publiques, mais aussi sur les politiques économiques. Un seul chiffre dit tout le reste: le déficit pèse 1,7 point de PIB de plus que le...
Edition N° 5184 | Le 08/01/2018
Faut-il traîner en justice l’ancien Chef du gouvernement, le PJDiste Abdelilah Benkirane, le président de la Cour des comptes, Driss Jettou (lui-même ancien Premier ministre)? Ces deux hautes personnalités méritent cinq ans de prison, si l’on suit le raisonnement du  président de la Chambre des conseillers,  le PAMiste Benchamach. Certes on peut couper les cheveux en quatre pour arriver à...
Edition N° 5183 | Le 05/01/2018
Ils ont parfaitement travaillé. Tous les ministres d’El Othmani ont réussi à enterrer le rapport de la Banque mondiale 2016. Pourtant ce texte se contentait de s’interroger sur la compétitivité du Maroc en comparant des investissements tels que les phosphates, l’automobile… Plus important, le rapport soulignait cette incroyable malédiction: le Maroc investit massivement (30% ou peu s’en...
Edition N° 5180 | Le 02/01/2018
Sidi Ifni, il y a dix ans.  Al Hoceïma et maintenant Jerada. Des endroits pauvres, où il n’y a pas que des pauvres. Chaque fois le même modèle: une mono-activité qui disparaît et pas grand-chose pour lui succéder. Des communiqués officiels promettent le contraire et annoncent des pluies de milliards, tous aussi fictifs les uns que les autres. Et chaque fois des élus (sauf peut-être pour...
Edition N° 5180 | Le 02/01/2018
L’ancienne centrale électrique au charbon, telle qu’elle était en 2013, au moment de la signature de son extension, avec le chinois Sepco III (qui apportait  aussi le financement : 3 milliards de DH, pour une tranche) tourne avec du charbon importé via le port de Nador, à plus de 60km de là. On retrouve la société Sepco sur les Noor 2 et 3 de Ouarzazate. En 2008, on pensait convertir cette...
Edition N° 5179 | Le 29/12/2017
Oui, l’année 2017 se termine mieux qu’elle n’avait com­mencé. On a eu de bonnes récoltes grâce à la pluie (et aussi à une politique agricole intelligente). On a calmé les ambitions de Benkirane, mais on ne sait pas exactement où veut aller un El Othmani, en apparence ef­facé. Le PJD a levé, au moins pour un temps, l’hypothèque qu’il faisait peser sur le Maroc, fort du chèque en blanc que...
Edition N° 5178 | Le 28/12/2017
Les parlementaires sont vraiment décevants. Même pour ceux d’entre nous qui considèrent qu’il vaut mieux de mauvais élus que pas d’élus du tout ou de faux élus comme dans les dictatures. Le PAM a brassé beaucoup d’air sur quatre ou cinq sous-vétilles que la Cour constitutionnelle a étudié sans rire. Mais personne ne s’est soucié des inquiétudes formulées par la Cour des comptes. Pourtant,...
Edition N° 5177 | Le 27/12/2017
On a beau tourner en rond, se payer de mots… Il faut dire les choses franchement: la flexibilisation du dirham n’est plus à l’ordre du jour. C’est un grave préjudice. Qu’on se souvienne: assez discrètement, les autorités monétaires et financières, c’est-à-dire la Banque centrale mais aussi le Ministère des Finances et la Primature ont préparé durant plusieurs mois (au moins deux ans pour...