L’urgence d’un plan d’action «priorité au cloud»
«Malgré un potentiel important, le Maroc accuse encore un retard dans l’adoption du cloud par les acteurs. En 2020, le taux d'externalisation des ressources informatiques ne dépassait pas 14%, tandis qu'il atteignait 35% en Europe de l'Ouest et 51% en Asie Pacifique. Par ailleurs, malgré l’existence de plusieurs acteurs nationaux qui proposent des services d’hébergement et de cloud, l’offre nationale demeure manifestement orientée vers les besoins les plus usuels (hébergement, infrastructure as a service, applications fréquentes), sans couvrir toute la diversité des offres applicatives et services à haute valeur ajoutée (software as a service)».