INSAF: 500 fillettes sauvées, et le combat continue!
Meriem Othmani, présidente de l’Institut national de solidarité avec les femmes en détresse (INSAF): «Maintenant, nous pouvons expliquer aux employeurs qu’ils risquent 1 à 3 mois de prison, et 25.000 à 30.000 DH d’amende, le double en cas de récidive. Pour nous, c’est une victoire! C’est extraordinaire de savoir que nous pouvons enfin agir»