Doyen de SolBridge International School of Business, Daejeon, Corée du Sud, membre de la Commission spéciale sur le modèle de développement et membre de l’Institut marocain d’intelligence stratégique. (Ph. H.B.)
J’appelle les chefs d’entreprise marocains au jihad économique
LE Maroc ne va pas bien. Les spasmes qui le secouent, périodiquement, résultent du décalage énorme entre les besoins d’une population de 34 millions et la richesse créée par l’économie nationale. Je compare souvent le Maroc à un bus bondé tracté par un moteur de 2 CV.