Arrosage : Quand Casablanca fait dans le gaspillage
Dans un autre registre, la Cour des comptes épingle la gestion de l’arrosage de la ville. À cet effet, la commune a procédé au creusement et équipement de plusieurs puits... qui ont été abandonnés malgré l’abondance des eaux souterraines ! C’est le cas à titre d’exemple du puits du jardin de la Palestine au quartier Belvédère (Voir "Le parc Belvédère enfin ouvert"). Une aberration quand on sait "qu’au lieu d’utiliser ces puits, la commune procède à l’arrosage des espaces verts concernés en les raccordant au réseau d’eau potable"(sic.) Rappelons que l’indicateur des espaces verts en fonction du nombre de la population ne dépasse pas 1,3 m² par habitant à Casablanca, très en deçà du taux de 25 m² retenu par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).